Si cette exposition est la plus courte du Mois de la Photo, c’est aussi celle qui a déclenché certainement le plus de commentaires et d’articles sur le décrochage de l’œuvre de Diane Ducruet. Celle-ci fait partie d’un ensemble cohérent de travaux de six photographes dont Françoise Paviot a assuré le commissariat. Son absence renforce cette cohérence car elle montre bien que l’intime est un enjeux personnel et politique et que le sujet peut encore susciter bien des remous et des réflexions. J’y serai ce vendredi après-midi de 14:30 à 17:00 avant le rendez-vous à la Maison Européenne de la Photographie et demain, à partir de 13:00 nous signerons nos livres avant de décrocher à 18:00.
Venez nous voir, échanger. Il y a encore beaucoup de choses à élaborer ensemble sur ce sujet.
Galerie Catherine Houard – 15 rue Saint Benoit, 75006 Paris. M° Saint Germain
L’intime comme illusion
Juliette Agnel, Carolle Bénitah, Marie Docher, Diane Ducruet, Vincent Gouriou, Catherine Rebois.
Marie Docher
Alors je suis devenue une Indien d’Amérique
Editions iXe
http://www.editions-ixe.fr/node/181
Diane Ducruet
Family Games
Caillou bleu
http://www.dianeducruet.com/#!publication/c1jqx
Catherine Rebois
Corps Lato Sensu
Trans Photographic Press
http://www.paris-art.com/editeur-design/-corps-lato-sensu/catherine-rebois/3374.html
Juliette Agnel
Coréennes
Autoédition